Vous êtes iciAccueil>Disponibilités>CORONAVIRUS
dimanche, 23 février 2020 03:35

La Quinzaine Universitaire N°1438 est en ligne

Écrit par

 

La Quinzaine Universitaire N°1438 est en ligne

 

Accéder à votre revue

      4 - De quoi « liberté pédagogique » est-il le nom ?
      5 - De l’importance de respecter notre liberté pédagogique
      5 - Liberté pédagogique et premier degré :
      6 - La liberté pédagogique a - collège : une peau de chagrin
      6 - PLP, la Perte de la liberté pédagogique
      7 - Le nouveau lycée réduit-il notre liberté ?
    7 - Quel avenir pour la liberté pédagogique ?
vendredi, 08 novembre 2019 16:59

La Quinzaine Universitaire N°1434 est en ligne

Écrit par

 

La Quinzaine Universitaire N°1434 est en ligne

 

Accéder à votre revue

SOMMAIRE:


DOSSIER DU MOIS

4 - La voie professionnelle
4 - La réforme Blanquer en LP : vraie réforme ou opération marketing ?
4 - Comité de suivi de la voie professionnelle
5 - L’inapplicable co-intervention
5 -Seconde : « métiers de la relation clients » ?
6 - Réforme de la voie professionnelle et métiers d’arts
6 - Conseil supérieur des programmes : l’illusoire consultation
7 - Fusion des GRETA et des CFA : bilan et perspectives
7 - Développer l’apprentissage : est-ce vraiment l’enjeu ?
8 - Remontées de terrain : quelle catastrophe !
8 - Dérives de l’orientation supposée choisie

Le SNALC s'était fixé jusqu'à aujourd'hui pour s'engager ou non dans le mouvement du 5 décembre. Il a porté et continue de porter la revendication majoritaire des agents de l'Éducation nationale et du Supérieur : une revalorisation pour tous les personnels, que ce soit par le dégel du point d'indice, la hausse des indices dans les grilles et/ou l'augmentation de la part fixe des indemnités, sans contreparties.

Le SNALC a transmis en octobre un document sur la question des rémunérations dont les services du ministère ont reconnu le sérieux. Nous avons posé tous les constats et fait de nombreuses propositions chiffrées, le tout avec un projet de calendrier de mise en œuvre. Nous avons joué aussi longtemps que possible la carte du dialogue.

Au sortir de la réunion de ce jour sur les traitements, aucune annonce concrète n'a été faite.

En conséquence, le SNALC appelle les agents à participer à la grève sur les retraites et les traitements à partir du 5 décembre. Nous déposons dès demain un préavis qui couvre la période du 5 au 21 décembre, et appelons les collègues à organiser partout des heures d'information syndicale.

 

Contact :
Jean-Rémi GIRARD, président du SNALC, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Le SNALC a pris connaissance du rapport Missions territoires et réussite paru le mardi 5 novembre.

Parmi les 25 propositions émises par cette mission, certaines sont intéressantes alors que d'autres nous laissent plus que dubitatifs, notamment celle sur le devenir très flou des REP. Le SNALC s’inquiète particulièrement de la sixième mesure visant à « Adosser la troisième tranche de revalorisation de la prime REP+ à la participation au dispositif de formation à la difficulté sociale et scolaire hors temps scolaire »

Sous prétexte de valorisation de l’investissement collectif des équipes, l’heure de la fin des « vacances » a sonné. Cette dernière partie de la prime REP+ joue donc le rôle de ballon d’essai pour une destruction de nos conditions de travail et de notre statut. S'il est évoqué « la nécessité de ne pas empiéter sur le temps directement consacré à des élèves et familles », l’impasse est faite sur le temps consacré par les professeurs à la préparation des cours, et aux corrections pendant ces périodes de « vacances ».

Le SNALC, conscient des difficultés que peuvent rencontrer les professeurs en REP+, soutient l’idée d’une formation adaptée aux spécificités de ces établissements. À condition que ce soient des formations de qualité, pragmatiques, cohérentes, et surtout, SUR temps scolaire.


Contacts :
Roland HESSE, responsable national SNALC Éducation prioritaire, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.
Jean-Rémi GIRARD, président du SNALC, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

La principale revendication du SNALC n'a pas changé : nous demandons la revalorisation des métiers de l'Éducation nationale et du Supérieur, pour tous les personnels, que ce soit par le dégel du point d'indices, la hausse des indices dans les grilles et/ou l'augmentation de la part fixe des indemnités.

Le SNALC a pris note du calendrier de négociations proposés par le ministre de l'Éducation nationale, qui a notamment fixé une réunion le 7 novembre.

Le SNALC jouera la carte du dialogue jusqu'à cette date. En fonction de ce qui sera mis sur la table le 7 novembre, il se prononcera sur sa participation ou non à la grève du 5 décembre.

Paris, le 18 octobre 2019

Contact :
Jean-Rémi GIRARD, président du SNALC, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

Le 24 septembre 2019, le SNALC était convié au lancement du Comité de suivi de la transformation de la voie professionnelle, présidé par Monsieur BLANQUER. Ce comité doit suivre la mise en oeuvre des différents dispositifs de la réforme regroupés en trois grands sujets : les innovations pédagogiques, l’attractivité de la voie professionnelle et l’attention portée aux élèves les plus fragiles. Le Ministre a affirmé que cette énième réforme serait la bonne. Son discours est ambitieux mais est-il crédible ?


Le SNALC a rapporté les premières constations du terrain. Pour ce qui est des innovations pédagogiques, le chef d’oeuvre ressemble furieusement au PPCP et a peu de sens pour les formations tertiaires. La co-intervention, face à un effectif de 35 élèves ou dans le bruit des ateliers, est un dispositif chronophage pour les enseignants, qui risque fort d’embrouiller l’esprit des nombreux élèves qui ne maîtrisent pas les fondamentaux, et ne compensera pas la perte d’heures d’enseignement général.

L’attractivité de la voie professionnelle implique l’ouverture de nouvelles divisions, dans des filières insérantes existantes ou à créer, nécessitant des plateaux techniques onéreux. La baisse de la part de Taxe d’Apprentissage (de 23 à 13%) dévolue au financement des formations professionnelles scolaires ne va pas dans ce sens. Bien sûr, il y a l’apprentissage, en LP, et sa modalité particulière de mixité des publics qui se met en place discrètement.

Ironie du calendrier, le même jour, était présenté en CSL un décret prévoyant, pour les candidats scolaires aux diplômes professionnels, en cas d’échec à l’examen, l’acquisition à vie des blocs de compétences pour lesquels les candidats obtiennent une note supérieure à 10/20. Toute la vie pour décrocher son bac pro est-ce cela l’attention particulière portée aux élèves les plus fragiles ?

Le LP se transforme, effectivement, mais en une gigantesque planche à diplômes ce qui n’est pas un gage d’excellence future. Surtout, comme le SNALC le souligne à chaque consultation, cette réforme dégrade, dès à présent, les conditions de travail des PLP et, à terme, leur rémunération.

Le 13 octobre dernier, le ministre de l’Éducation nationale déplorait 20 à 30 incidents graves par jour dans les établissements scolaires. Dans le même temps, il annonçait son intention de « publier les chiffres de la violence scolaire département par département ».

Poussé par la vague de violences physiques et psychologiques dont sont victimes les personnels de l’Éducation nationale, Jean-Michel Blanquer affiche une volonté de clarté.

Nous sommes dubitatifs pour plusieurs raisons. Tout d’abord, sur les chiffres annoncés. Est-il question de 20 à 30 incidents graves par jour ou alors de 442 incidents graves chaque jour dans les collèges et lycées, selon le résultat d’une enquête publiée le 20 septembre 2017 ?

De la même façon, est-ce que le ministère va revoir sa présentation du nombre d’incidents graves déclarés ? Car actuellement, on présente le nombre d’incidents pour 1000 élèves plutôt que de donner le nombre exact. Cela donne une énième impression de vouloir diluer la réalité.

Enfin, Le SNALC demande au ministre de lancer dans une étude nationale des burnout et suicides chez les personnels de l'Éducation nationale.

 

Paris, le 14 octobre 2019
Contact :
Maxime REPPERT, secrétaire national chargé des conditions de travail et du climat scolaire, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

vendredi, 11 octobre 2019 13:32

La Quinzaine Universitaire N°1433 est en ligne

Écrit par

 

La Quinzaine Universitaire N°1433 est en ligne

 

Accéder à votre revue

 

SOMMAIRE:

DOSSIER DU MOIS

4 - La réforme des retraites
4 - Étude comparée des systèmes de retraite.
6 - Réforme des retraites : ce qui attend les générations actuelles
8 - Projet DELEVOYE : les questions pendantes

Le SNALC a participé hier à la réunion du comité de suivi de la réforme du lycée. Grâce à une enquête menée auprès de ses adhérents, il a pu informer les membres du comité des conditions réelles dans lesquelles s'est passée la rentrée.

Les chiffres sont sans appel : dotations horaires en diminution, augmentation de l'amplitude des journées et du nombre de « trous », moins de demi-journées libérées, spécialités placées le mercredi après-midi, surcroît de travail des proviseurs adjoints, effectifs en hausse dans les disciplines de tronc commun… la mise en œuvre de la réforme s'accompagne d'une importante dégradation des conditions de travail des personnels. Plus que jamais, le SNALC alerte sur le fait qu'il convient de freiner avant d'arriver dans le mur.

Le SNALC a porté la parole des collègues en demandant clairement qu'il n'y ait pas d'abandon de la troisième spécialité en fin de première. Si nous avons obtenu que la question soit traitée lors de la prochaine réunion du 11 décembre, nous sommes plus qu'inquiets du fait qu'il nous a été répondu qu’il ne se s’agissait pas pour le comité de remettre en cause les fondements de la réforme.

Le SNALC n'est pas là pour accompagner la réforme : il est là pour porter les revendications majoritaires des collègues. Et si celles-ci vont à l'encontre de la réforme, c'est la réforme qui doit changer.

Paris, le 10 octobre 2019

Contact :
Jean-Rémi GIRARD, président du SNALC, Cette adresse e-mail est protégée contre les robots spammeurs. Vous devez activer le JavaScript pour la visualiser.

En tant que syndicat représentatif, le SNALC a participé ce matin à la réunion avec le ministre et le haut-commissaire Jean-Paul Delevoye sur la question de la réforme des retraites.

En effet, il est de notoriété publique que les personnels enseignants, mais aussi la majorité des autres agents du ministère, seraient incroyablement perdants en cas d'application aveugle du projet de réforme contenu dans le rapport Delevoye. Le SNALC a eu l'occasion lors de la réunion d'évoquer les simulations qu'il avait réalisées sur le sujet, et qui aboutissent à des diminutions de pension pouvant atteindre les 1000 euros bruts par mois.

le SNALC n'a jamais été demandeur d'une réforme des retraites. Il est en revanche demandeur d'une hausse salariale importante qui ne serait qu'un rattrapage parfaitement justifié pour nos collègues, dont plus personne ne conteste
Page 2 sur 3
Vous êtes iciAccueil>Disponibilités>CORONAVIRUS

Paramétrages de cookies

×

Cookies fonctionnels

Ce site utilise des cookies pour assurer son bon fonctionnement et ne peuvent pas être désactivés de nos systèmes. Nous ne les utilisons pas à des fins publicitaires. Si ces cookies sont bloqués, certaines parties du site ne pourront pas fonctionner.

Mesure d'audience

Ce site utilise des cookies de mesure et d’analyse d’audience, tels que Google Analytics et Google Ads, afin d’évaluer et d’améliorer notre site internet.

Contenus interactifs

Ce site utilise des composants tiers, tels que ReCAPTCHA, Google Maps, MailChimp ou Calameo, qui peuvent déposer des cookies sur votre machine. Si vous décider de bloquer un composant, le contenu ne s’affichera pas

Réseaux sociaux/Vidéos

Des plug-ins de réseaux sociaux et de vidéos, qui exploitent des cookies, sont présents sur ce site web. Ils permettent d’améliorer la convivialité et la promotion du site grâce à différentes interactions sociales.

Autres cookies

Ce CMS Joomla utilise un certain nombre de cookies pour gérer par exemple les sessions utilisateurs.